Les représentants ardéchois de ANTICOR tirent la sonnette d’alarme.
Selon l’association, « en Ardèche, certains élus se comporteraient comme des shérifs, considérant la commune comme une propriété privée où ils peuvent tout se permettre ».
ANTICOR dénonce aussi « des petits arrangements entre amis ».
ANTICOR est une association nationale qui s’est fixée pour mission de lutter contre la corruption et rétablir l’éthique en politique. Son ambition est de réhabiliter le rapport de confiance qui doit exister entre les citoyens et leurs représentants, politiques et administratifs.
Lors des élections, Anticor invite les candidats à s’engager sur des propositions d’éthique et de probité et à agir dans l’intérêt général. Avec les lanceurs d’alertes, Anticor s’implique dans des affaires judiciaires importantes en signalant au parquet des faits susceptibles de recevoir une qualification pénale.
Pour agir en toute indépendance, Anticor a choisi de ne bénéficier d’aucune subvention. Son financement est assuré uniquement par des dons et les cotisations de ses adhérents.
Nous publions ci-dessous l’article récemment paru dans la presse locale, dans lequel s’expriment deux de ses représentants ardéchois.
Nous rappelons qu’à Lamastre, M. VALLON a déjà été condamné en sa qualité de maire pour dénonciation calomnieuse à l’encontre d’une ancienne élue (lire le-maire-condamné…) et qu’une plainte auprès du Procureur de la République a été déposée contre lui en sa qualité de Président de la communauté de communes pour :
- Délit de favoritisme, complicité de délit de favoritisme (infraction prévue par l’article 432-14 du Code pénal);
- Délit de faux et usage de faux, complicité de faux et usage de faux (infraction prévue par l’article 441-1 du Code pénal).
Lire ou relire dépôt-de-plainte-contre-le-président-de-la-communauté-de-communes
RAD
Quelle surprise !! Que faudra t’il de plus pour engager les moyens d’arrêter « l’équipe » municipale en place ? Il ne s’agit plus d’être « de gauche ou de droite « , il s’agit de mettre un terme à cette « dérive » autoritaire, et ses « menaces » ou insinuations douteuses ! Est-ce normal de salir ainsi un médecin ? N’est ce pas diffamant ? Devons-nous reparler de la politique culturelle inexistante ? Malgré les efforts des associations qui œuvrent… devons-nous reparler des « pots de fin de séance « offerts à une partie seulement du conseil municipal ? Avec quel argent ? La liste est longue… plus cela dure, plus le réveil sera difficile…