Avec la pandémie de Covid le baiser, le bisou seraient-ils devenus une cause à défendre ou une pratique en voie de disparition ?
Depuis les années 90 il a sa journée internationale le 6 juillet.
Le baiser n’a pas toujours eu la signification que nous lui connaissons aujourd’hui. Dans l’antiquité, il était avant tout échangé d’homme à homme et constituait une sorte de reconnaissance sociale.
À la Renaissance, le baiser est devenu mixte et une marque d’amour entre hommes et femmes, signification qu’il a largement gardée de nos jours en devenant l’expression de l’intimité, de l’affection, de l’amour.
Dans certains milieux (artistes, people, …) il est une marque de l’appartenance à un même cercle.
Bon pour la santé
- Un enfant régulièrement embrassé sera en meilleure forme psychique et physique
- Le baiser des amoureux fait travailler 34 muscles.
- Il stimule le système immunitaire et contribue à une meilleure résistance aux infections et aux allergies.
- En stimulant la production d’endorphine et d’ocytocine, le baiser apaise, stabilise le rythme cardiaque et améliore le bien-être.
Il y a le baiser de Judas… mais la Belle au bois dormant n’a-t-elle pas été ramenée à la vie par un baiser?
Le poète a rendu hommage aux « amoureux qui s’bécotent sur les bancs publics, bancs publics, bancs publics, en s’foutant pas mal du regard oblique des passants… honnêtes ».
Alors: let’s kiss?
Mais Corona est toujours tapi en arrière-plan, alors bisous, baisers soufflés, baisers virtuels !!!
RAD
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