Un lecteur nous écrit:
« Jours de Foire
Les jours de Fêtes et de Foires, apparaissent des mannequins au visage évidé, ou chacun se fait une nouvelle identité en y plaçant le sien.
La nouvelle major des républicains vient d’y jouer son rôle parmi les politiciens de droite.
Son action phare prioritaire et immédiate serait la suppression de 200 000 postes de fonctionnaires.
Cela pose question sur son originalité et la différenciation avec ce gouvernement quant à la poursuite éventuelle de ses actions. Peu réjouissant !
Un copier/coller est de mise entre ces politiques, il suffit d’en changer les têtes, les contenus et perspectives ne varient guère. Même la gauche moribonde s’y est déjà essayée.
« En même temps », apparait une représentante des syndicats de la magistrature qui dénonce violemment un manque de personnels, empêchant toute gestion cohérente des dossiers très nombreux en attente.
Leur ministre innove avec un projet de mise en place de jugements en absence des prévenus. Une première dans une société démocratique !
Cette réclamation s’ajoute à celles bien connues et souvent dénoncées: services de santé à l’agonie, enseignement public en décrépitude, services de l’État et des territoires à l’abandon, le tout en progressive déliquescence.
Enlever encore des acteurs dans ces domaines, quel sens ?
On peut aussi se poser la question du dénigrement de ces personnels, très souvent critiqués, jalousés aussi: « planqués, bien payés, emplois protégés, belles retraites »…. mais que l’on voit quitter leurs postes par centaines, par milliers, démissionner de ces paradis et chercher du travail ailleurs ; les infirmières critiquées, encensées, puis exploitées selon les besoins, les enseignants, les chercheurs….
L’État, c’est à dire une minorité d’individus, disposant de tous les pouvoirs : législatif, exécutif, judiciaire, éducatif, information…gouverne une population uniformisée d’individus ayant progressivement perdu son libre arbitre.
Notre nation jadis fière et indépendante a baissé les bras et remis ses présent et avenir à des marchands et prédateurs peu scrupuleux ».
Alain papy
Et oui Papy, ça continue…les mêmes ingrédients produisent les mêmes résultats OU les mêmes acteurs produisent les mêmes effets…CHANGEONS DE METTEUR (S) EN SCENE !
L’Éducation du Pauvre
Ce matin à l’écoute d’une radio sérieuse, un plateau de journalistes, d’experts et politiques, qui l’étaient tout autant, échangeaient sur le problème du pouvoir d’achat des citoyens.
Beaucoup de solutions envisagées, afin de mieux équilibrer ces énormes écarts, sauf une , de faire participer ceux qui en ont les gros moyens .
Il y a là un tabou, véritable dogme politique que peu osent enfreindre.
Une idée émerge alors , celle d’éduquer, et d’apprendre aux petits salariés, à consommer moins : l’exigence dans les limites de leurs modestes moyens !
Pensée d’un grande sagesse, accompagnée de recommandations,
« Bible de Sagesse »,et d’aides : tuteurs, conseillers, moniteurs, coachs ……les entourant.
Ultime solution de management des populations ? la pensée seule glace le corps et l’esprit .
Le thé se fige, confiné dans la tasse!
Cette école de la vie, cache évidement une profonde hypocrisie: éducation, conditionnement et aménagement des populations, protégeant les positions des hauts revenus, réfractaires à tout partage et toute solidarité.
Le financement des hommes politiques convertis à leurs causes, est d’un tout autre investissement bien plus bénéfique.
Nos sociétés, ne seraient plus alors que des vitrines de richesses réservées à certains, aux autres les rêves, les désirs et aspirations , enfants léchant les vitrines des pâtisseries.
Il faut calmer les colères, les revendications , mais surtout ne rien céder sur le fond. Dire, moraliser, et imposer à ces personnes anonymes et modestes, aspirantes aux richesses qu »elles ont elles même crées, que ce n’est pas pour eux, mais réservées à des personnes plus méritantes, compétentes, d’une autre nature.
C’est cela , d’une autre nature, ne supportant ni partage ni une solidarité qui s’éloigne chaque jour davantage.
Alors à chacun d’entre nous d’être exigeant, face à ces politiques, a qui nous devons monnayer nos bulletins à prix forts pour un engagement plus égalitaire.