Un lecteur réagit à notre récent article rentrée-scolaire-2023: il nous écrit:
« Nos gouvernements actuels ne veulent en rien changer ces situations dégradées.
L’actualité en rajoute tous les jours : nos bébés en crèches comme nos vieux en EHPAD, les étudiants aux écoles, les malades en hôpital, les pauvres aux restos du cœur, tous subissent une segmentation de notre société que l’on a volontairement fractionnée.
Tout est trop cher, il n’y a plus d’argent. Toutes les structures, institutions nécessaires à une société ont été volontairement dégradées, ouvrant la voie à des privatisations favorables aux spéculateurs et aux nantis.
En même temps, la bourse a battu cinq records depuis le début de l’année-7500 points, les dividendes aussi, plus de 50 milliards et fraudes fiscales 80 milliards. La générosité demandée à la population devrait s’appliquer d’office aux nantis – Loi difficile à prendre contre ses alliés et ses propres intérêts.
Tout le monde connait ces chiffres, s’en offusque, s’en plaint. Une minorité d’individus: moins de 15% des électeurs, a pris en main les destinées de ce pays?
Le changement souhaité ne se fera qu’avec le fort refus des individus de ces programmes qui ont asservi la population.
Ne pas toujours attendre l’arrivée d’un Zorro. mais s’impliquer personnellement dans toutes les actions de refus de ces situations. Il ne s’agit pas d’un choix de parti, mais de celui d’un programme et de ses réglés d’application.
Seule chance de réussite, une implication personnelle forte.
Les anciens dont je suis (85 ans), ont eux aussi lutté durement dans une société plus dure qu’aujourd’hui, sont pessimistes devant ce fatalisme complice des choix politiques actuels.
Cette soumission et ce servage, est-ce bien le rôle, la mission de l’homme sur cette terre ? »
Alain Papy
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